Every day in Mumbai 5,000 dabbawalas (literally translated as "those who carry boxes") distribute a staggering 200,000 home-cooked lunchboxes to the city’s workers and students. Giving employment and status to thousands of largely illiterate villagers from Mumbai’s hinterland, this co-operative has been in operation since the late nineteenth century. It provides one of the most efficient delivery networks in the world : only one lunch in six million goes astray. Feeding the City is an ethnographic study of the fascinating inner workings of Mumbai’s dabbawalas. Cultural anthropologist Sara Roncaglia explains how they cater to the various dietary requirements of a diverse and increasingly global city, where the preparation and consumption of food is pervaded with religious and cultural significance. Developing the idea of "gastrosemantics" – a language with which to discuss the broader implications of cooking and eating – Roncaglia’s study helps us to rethink our relationship to food at a local and global level.
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Distribution
Articles
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Feeding the city : work and food culture of the Mumbai dabbawalas
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAY -
The rise of supermarkets in Africa, Asia, and Latin America
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYSupermarkets are traditionally viewed by development economists, policymakers, and practitioners as the rich world’s place to shop. The three regions discussed here have a great majority of the poor on the planet. But supermarkets are no longer just niche players for rich consumers in the capital cities of the countries in these regions. The rapid rise of supermarkets in these regions in the past five to ten years has transformed agrifood markets at different rates and depths across regions and countries. Many of those transformations present great challenges—even exclusion—for small farms, and small processing and distribution firms, but also potentially great opportunities. Development models, policies, and programs need to adapt to this radical change.
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Marie May
15 septembre 2021, par Mathilde COUDRAYLa Palanche, un drive « zéro déchet » qui promeut l’alimentation durable. Aujourd’hui dans le monde, près de 40 % du plastique est dédié à la production d’emballages, dont la grande majorité finit dans notre poubelle au bout de quelques jours, voire quelques heures (WWF France, 2020).
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Concepts de métabolisme urbain et d’empreinte alimentaire
4 janvier 2018, par RoxaneUn des défis majeurs à venir sera de parvenir à nourrir durablement les urbains, car dans le même temps, la communauté scientifique s’accorde pour pronostiquer un avenir fait de risques de pénuries de ressources naturelles non renouvelables, liés notamment à l’urbanisation galopante.
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Engagements militants, professionnalisés ou distanciés : les visages multiples de l’alimentation engagée
27 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYCet article analyse les formes d’engagement existant dans la consommation engagée en prenant en compte l’ensemble des acteurs sociaux qui rendent possibles ces pratiques : consommateurs mais également producteurs, distributeurs ou encore fondateurs, salariés et bénévoles de réseaux associatifs. Il montre que ces actions politiques passant par le marché ne reposent pas uniquement sur de nouvelles formes d’engagement individualisées mais également sur des engagements militants plus traditionnels ainsi que sur ceux d’individus cherchant à concilier convictions et emploi. La coexistence de ces différents investissements est une source de difficultés pour les mouvements de l’alimentation engagée.
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« Les défis du dernier kilomètre de livraison pour l’industrie alimentaire »
5 février 2018, par RoxanePaul Wagner, directeur du développement de Chronopostfood - Pour son 7e rendez-vous annuel, la Chaire Unesco Alimentations du monde s’intéresse aux circulations des aliments et des hommes, dans l’espace et le temps, pour comprendre comment les connaissances, traditions, habitudes et pratiques alimentaires voyagent dans le monde pour se généraliser, se recomposer, se réinventer, s’hybrider...
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Réinvestir les quais parisiens pour transporter les denrées alimentaire
5 janvier 2018, par RoxaneUn des défis majeurs à venir sera de parvenir à nourrir durablement les urbains, car dans le même temps, la communauté scientifique s’accorde pour pronostiquer un avenir fait de risques de pénuries de ressources naturelles non renouvelables, liés notamment à l’urbanisation galopante.
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Circuits courts alimentaires, dynamiques relationnelles et lutte contre l’exclusion en agriculture
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYLes circuits courts alimentaires, sujet d’actualité, sont parfois idéalisés alors que leur capacité à réduire les inégalités reste à approfondir. À partir des apports de la sociologie économique, l’article cherche à montrer en quoi et comment ces circuits, en tant que marchés valorisant les liens sociaux, peuvent permettre d’intégrer des positions sociales marginalisées en agriculture, identifiées à partir d’un travail préalable de bibliographie et d’enquêtes. Basée sur une analyse longitudinale des relations sociales et des récits de vie, la recherche fait émerger trois types de dynamiques relationnelles facilitant l’intégration d’exclus. La contribution illustre les circuits courts considérés comme des outils au service d’un développement social durable.
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Comment les villes se nourrissent-elles ?
13 décembre 2012, par ClarisseAu milieu des années 2000, la population mondiale est devenue majoritairement urbaine. En 2050, plus des deux tiers des humains habiteront en ville.
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L’émergence des « marchés sans intermédiaires » en Grèce. Résilience des systèmes alimentaires dans une économie solidaire en période de crise (Theodosia Anthopoulou)
18 octobre 2016, par ClarisseLes « marchés sans intermédiaires » sont initialement apparus en 2012 à l’initiative de collectifs de la société civile, en pleine crise économique, suite au mouvement dit « de la pomme de terre ». Depuis lors, ils se propagent rapidement dans toute la Grèce, en même temps que d’autres initiatives alimentaires, telles que les jardins urbains associatifs, les premiers paniers de type AMAP et les épiceries sociales qui s’inscrivent dans le cadre d’une économie sociale et solidaire émergente. Le mouvement « sans intermédiaires » représente une réponse collective par le bas au marché capitaliste dominant.